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VIENT DE PARAÎTRE

Auto-autochtonisation : regards croisés sur une mutation coloniale

Revue d’études autochtones, vol. 53(1) – 2023-2024

Codirigé par Darryl Leroux, Nawel Hamidi et Pierrot Ross-Trermblay, le dernier numéro de Revue d’études autochtones (vol. 53, n˚1, 2023-2024) présente des contributions inédites sur la thématique « Auto-autochtonisation : regards croisés sur une mutation coloniale ». Le phénomène relativement récent de l’auto-autochtonisation prend de plus en plus d’importance sur les scènes sociopolitiques québécoise, canadienne et états-unienne. Abondamment étudié et analysé au cours des  deux dernières décennies, ce mouvement a des « conséquences majeures sur la souveraineté et l’autodétermination des Premiers Peuples ». … Pour en savoir davantage


VIENT DE PARAÎTRE

Patrimoines autochtones territoriaux : le droit de protéger les espaces de culture et de transmission

Revue d’études autochtones, vol. 52(3) – 2022-2023

Le volume 52(3) de Revue d’études autochtones est maintenant disponible. Codirigé par Caroline Desbiens et Justine Gagnon, ce numéro a pour thématique les « patrimoines autochtones territoriaux : le droit de protéger les espaces de culture et de transmission ». Ce numéro spécial pose un regard critique sur la notion même de patrimoine et plus particulièrement le patrimoine dit « territorial », le patrimoine ancré dans le territoire à partir de contextes, d’enjeux et de perspectives autochtones  … Pour en savoir davantage


De la science en français SVP!

Revue d’études autochtones (anciennement Recherches amérindiennes au Québec) est reconnue comme étant l’une des cinq revues réputées publiées en français par le Consortium Érudit. Pour en savoir davantage


MAINTENANT DISPONIBLE

Kruger 3 : lieu de portage millénaire à Brompton

(Textes réunis sous la direction de Claude Chapdelaine et d’Éric Graillon)

Le 40e titre de la collection Paléo-Québec est maintenant disponible. Le site Kruger 3 occupe une terrasse intermédiaire en contrebas du site Kruger 2 sur la rive droite de la rivière Saint-François. La fouille d’une trentaine de mètres carrés entre 2013 et 2019 a permis de mettre au jour une série d’occupations brèves échelonnées sur une profondeur de 150 cm. Cet enfouissement des témoins culturels est lié à une sédimentation alimentée par les crues printanières. Les premières occupations, vieilles de 9300 ans, remontent au Paléoindien récent dont les indices se trouvent à plus de 110 cm sous la surface actuelle.

Pour en savoir davantage


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